L'histoire 

L'envie de brasser est venue des discussions, échanges avec le brasseur de la Résurgence à Bèze.

Nous étions collègue de travail et il s'épanouissait dans cette activité qu'il réalisait en temps partiel.

J'ai ainsi pu être sensibilisé aux différentes étapes de fabrication, aux risques d'infection et aux techniques qu'il utilisait.

C'est une des premières valeurs que j'ai découvert chez ce brasseur et tous ceux que j'ai rencontré ensuite, ils ne sont jamais avares en conseils et informations. La concurrence n'existe pas pour les micro-brasseries, il y a de la place pour tout le monde, tout le monde s'entraide.

Je me suis lancé dans mon premier brassin fin 2021. Ce fut le début d'une exploration de techniques, recettes qui ont amené à des succès et déceptions.

Vous trouverez sur la page fabrication ma technique actuelle de brassage et celle que je conseillerai pour ceux qui voudrait se lancer avec un minimum de matériel.

Vous trouverez aussi l'historique de l'ensemble de mes brassins, avec pour certains échecs, ce que j'ai pu en apprendre.

Cela a aussi été le début d'une réflexion sur l'identité de cette bière pour lui trouver un nom.

Ma démarche a toujours été de pouvoir brasser pour partager cette bière avec mes amis. J'ai donc choisi de lier son nom à une de mes occupations du moment (bière, rugby, festival,...) : j'ai choisi le monde du rugby qui m'occupait beaucoup avec les tangos de l'USG avec qui j'ai suivi beaucoup de match de mes enfants. Tous n'ont pas conservé cette passion du Rugby, mais cela m'a permis de découvrir un monde de passion, de combat et de partage.

La rug'beer était née.

La brasserie

En 2023, pour mes 50 ans, mon épouse m'a offert une polsinelli 50 easy. C'était le déclencheur pour passer l'étape suivante : créer sa brasserie.

Plutôt une pico-brasserie. le volume de chaque brassin sera autour de 50 litres et ma production annuelle ne dépassera pas 5 hectolitres, à la différence des micro-brasseries qui produisent jusqu'à 1000 hectolitres par an.

L'objectif est donc de pouvoir continuer à produire mes bières, pouvoir les partager chez moi avec mes amis et de pouvoir en vendre pour pouvoir amortir les coûts de fabrication.